Heiden - Histoire Version Longue

Heiden: Son Histoire Version Longue

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PART 1

Pour résumer sa vie, Heiden est né, d’un père allemand et d’une mère japonaise, en '93 en Allemagne. Il a grandit au Japon et a fait ses études au État-Unis en technique policière. Puis il s’est spécialisé dans le coté scientifique. Son père et son frère lui offrirent un emploi à Black Garden, mais il refusa. Il entra comme stagiaire à l’université Keiô et y est enfermé depuis janvier 2020. Un peu ennuyant comme vie, vu comme ca. Je ne crois pas qu’un résumé vous intéresse et puisse expliquer comment il vit aujourd’hui. Nous avons besoin de plus d’informations et de détails ‘croustillants’. Voici donc toute l’histoire…

La mère d’Heiden et Makoto est morte dans un accident de voiture. Il n’avait que 9 ans lorsque c’est arriver. Depuis ce jour, il vit avec son père et son frère. À l’école, rien n’allait plus. Il dérangeait les classes et intimidait les élèves. Il a du changer d’école une bonne douzaine de fois avant de trouver 'la bonne'. Son caractère s’adouci à fur et à mesure que son deuil passa et pu reprendre un cours normal à sa vie.

Arrivé au secondaire, il se fit plusieurs amis. Ils passaient tous leurs midis ensemble et se retrouvaient après les cours et les fins de semaines pour parler ou jouer à des jeux vidéos. Puis un jour, il déménagea dans une autre région du Japon et les perdu de vu. Ayant peur de perdre des amis à nouveau, il évita tout contact avec les autres jeunes de son secondaire cinq et se mit à la lecture. Pour son anniversaire, son père lui acheta des mangas de toutes sortes. Il les dévora en quelques jours. Ceux qu’il préférait étaient des mangas policiers, d’enquête et de mystère. L’année qui suivit fut rempli de romans de ce même genre. Il commença par de simple livre puis passa à de plus gros et plus difficiles. Il les aimait tant.

Heiden entra ensuite au collège, où il apprit plusieurs choses dans le domaine policier et de la justice. Il y passa quelques années avant d’aller en technique policière pendant deux ans. Il eu plusieurs stages et trouva enfin dans quelle branche il voulait aller : les sciences, les autopsies, les annalises sanguine, les annalises d’ADN; c’est ce qu’il voulait faire. Après deux ans d’études et de techniques, il sorti enfin faire un stage, mais n’aima pas ce métier plus qu’il ne le fallait. Il regarda où il pouvait aller et l’option professeur se présenta à lui comme étant une bonne idée.
Lorsqu’il en parla a son père et son frère, il reçu une proposition d’aller travailler dans les laboratoires de BlackGarden. Ils lui expliquèrent le but de leurs recherches et ce qu’il avait trouvé. Heiden, ne croyant pas à ces recherches, refusa tout simplement. Il garda l’option professeur et s’inscrit pour un stage. Il fut reçu a l’Université Keio, sous les ordres de Katsuo Keijiro et se lia vite au personnelle. Il avait enfin trouvé sa voie.

Heiden a maintenant 27 ans, et continue son stage. Il y en est déjà à son deuxième mois et adore cette expérience. Son père invita Heiden et Makoto au restaurant pour fêter tout ça. Ils parlèrent de tous les sujets, passant un bon moment sur BlackGarden bien sure. Puis son père sortit un paquet et l’offrit à Heiden. Il l’ouvrit et vu un livre : The Strange Case of Dr Jekyll and Mr Hyde par Robert Lewis Stevenson. Il le feuilleta rapidement et regarda son père, surpris de se présent. Il le remercia plusieurs fois. Ce livre, il l’avait toujours voulu, mais ne l’avait jamais trouvé. Enfin, il le tenait entre ses mains.

Arrivé chez lui, il déposa son livre sur son bureau, se changea et se coucha. Le lendemain, il prit le livre et se mit à lire. Encore une fois, il dévora un roman. Il le finit près de l’heure du diner et passa plusieurs minutes à y réfléchir. ''Et s’il y avait vraiment deux hommes en chacun d’entre nous?'' Il se répéta cette question pendant plusieurs jours, philosophant sur cette théorie. Il demanda aux autres ce qu’ils en pensaient et en discutait en temps libre.

Janvier 2020. Comme touts les jours, Heiden arriva avec son café et ses choses dans la classe de science, prêt à commencer le cours. Katsuo arriva, puis la cloche sonna. Les élèves entrèrent, prirent place et la deuxième cloche sonna. Le cours débuta. Tout se déroula comme prévu. La théorie, les notes de cours, les travaux puis… un cri.

Un pressentiment s’empara de Heiden. Il regarda dans la direction de cette expression à vous glacer le sang et un frisson lui parcouru l’échine. Des cadavres! Il y avait des cadavres partout à l’extérieur, mais ce n’était pas le plus horrible. Ces choses… ces drôles de créatures, sortit tout droits d’un film de science fiction, attaquèrent ces élèves et passants, sans pitié, sans remords. D’autres cris. De l’intérieur cette fois ci. Avaient-elles réussi à entrer? Ils savaient, Katsuo et lui, qu’il n’avait pas de temps à perdre. Ils devaient s’en débarrasser au plus vite et protéger leur classe. Voyant qu’il avait une idée derrière la tête, Heiden l’imita sans hésitation. L’improvisation n’avait jamais été son fort, mais ce jour la, leur vie en dépendait. Un lance-flammes en bombonne d’oxygène. Rien de mieux pour carboniser ces monstres. Malheureusement, il en avait d’autres. Comment s’en débarrasser? Un flash d’un vieux film de ‘zombies’ et déjà Heiden était revenu avec deux autres bombonnes et en passa une à son tuteur. Il s’échangea un regard et se mirent en place. Aucune pitié pour ces reptiles géants. Ils brisèrent les valves et les bombonnes se propulsèrent à toute allure contre l’ennemie. Une fois sur le sol, des élèves et professeurs, par colère et surement par peur, se jetèrent contre ces démons et les achevèrent aussi froidement qu’elles avaient tué leurs collègues et compagnons de classe.

Durant les semaines qui suivirent, ils nettoyèrent les lieux les rendant plus agréable et commença à s’organiser pour survivre dans l’inconnue de cet événement. Des survivants de l’extérieur se joignirent à eux, blessé pour la plupart. Lorsque les choses se calma, ils espérèrent tous de voir des secours militaire, mais se rendirent vite compte, après un mois ou deux, qu’ils n’arriveraient jamais jusqu’à eux et que le mode 'survie' avait officiellement été déclenché.

Après cette tragédie, Heiden ne fut plus le même. Ses sourires, ses rires, sa joie de vivre fut chose du passer. Lui, qui avant adorait partager ses souvenirs, regarder et montrer des photographies de sa belle enfance, était maintenant un livre fermer a clef. Lui, qui aimait tant parler de tout et de rien, raconter des anecdotes et des histoires de toutes sortes, avait perdu goût en la vie. Il avait des rêves qui ne sont plus que de vieux souvenirs.

Au fil du temps, son cœur repris peu à peu le goût de vivre, mais jamais comme avant. ''Pourquoi vivre heureux dans un monde, notre monde, mourant devant nos yeux?'' était la réponse qu’il donnait chaque fois qu’on lui proposait de venir faire la fête avec les autres ou qu’on lui reprochait d’être trop sérieux et qu’il ne devrait pas rester seul dans l’ombre ou dans un laboratoire lugubre.

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PART 2

Juin 2024. Sorti que pour faire un tour à l’extérieur et prendre l’air, Heiden aperçu une jeune femme, à peine plus jeune que lui. D’où venait-elle? Il ne l’avait jamais vu au par avant. Elle était assise seul contre le mur à l’ombre. Elle semblait pleurer. Il regarda autour de lui puis marcha en sa direction. Il s’assit près d’elle et se présenta. Elle essuya ses larmes et se présenta à son tour, s’excusant de pleurer ainsi pour des choses du passé puis elle fini par se confier. Ils parlèrent durant une heure ou deux. Peut-être plus. Une amitié était née.

Quatre ou cinq mois passèrent et ils s’étaient rapprocher. Tous furent contents de voir qu’il s'était trouvé une amie. Quelqu'un à qui il pouvait se confesser, quelqu'un avec qui rire. Bien sure, il avait encore, et toujours, Katsuo, mais une présence féminine était plus que bénéfique pour lui.

Ce jour la, Heiden organisa, surement sur un coup de tête, une soirée avec cette demoiselle qui occupait ses pensés. Mayu, c’est comme ça quelle se nommait, ne se doutait de rien, bien sure. Il plaça les couverts sur la table ou se trouvait une nappe rouge et noir. Des chandelles y étaient déposées. Cette ancienne salle de classe ressemblait maintenant à une salle privée d’un grand restaurant. Fixant les derniers détails, il sifflotait des chansons douces et poétiques ayant marquées son enfance et redécouvertes avec Mayu qui les adorait. Puis vint le moment ou elle entra dans une jolie robe, les yeux brillant, émerveiller par ce lieu. Il lui montra sa place et elle s’assit. Il fit de même. Un jeune garçon, un élève qu’il avait aidé quatre ans plutôt, entra avec deux repas qu’ils avaient préparés en début de journée. Cela n’avait rien d’impressionnant, mais vu la situation dans laquelle ils vivaient tous, l’intention, le geste, valait plus.

La soirée se déroula sans problème. Ils buèrent et rirent tout le long du repas. Puis ils quittèrent la pièce. Il la raccompagna jusqu’à sa chambre, parlant tout bas. Un silence s’installa ensuite lorsqu’ils furent arrivé. Un long regard fut échangé. Il l’a prit dans ses bras et doucement, au creux de son oreille, il lui avoua ses sentiments. Sa réponse fut brève mais satisfaisante. Un sourire aux lèvres, il alla à sa chambre, fière de cet aveu qu’il avait enfin réussi à accomplir. Il avait passé la plus belle soirée de toute sa vie.

Le lendemain matin fut, au contraire, le début de la pire journée de son existence. Oui, bien sure, la perte de son frère et de son père dans l’accident de BlackGarden avait engendré eux aussi une mauvaise journée, mais cette mâtiné là, Heiden se senti mourir. Il voulu mourir. Durant la nuit, peu de temps après le couvre-feu, des cris auraient été entendu. Très tôt cette journée là, la source de ces cris avait été découverte. Un corps. Le corps d’une jeune femme. Le corps de Mayu.

Un kuro s’était introduit, on ne sait quand ni comment, et attendait sagement dans un coin abandonné du campus. C’était une rumeur de deux ou trois jours au par avant, mais personne ne voulait y croire. Malheureusement, elle était réelle, et cette dénommer Mayu en fut la victime. Le bon coté des choses est que le monstre est mort avec elle. De graves blessures sur les deux cadavres ont été découvert lors de l’autopsie, mais ca, Heiden s’en doutais déjà. Il a bien fait de formé certains jeunes à cette pratique. Il a donc pu éviter de le faire lui-même et de perdre control de ses émotions. Malheureusement, il arriva ce qu’il devait arriver : il perdit la raison et tout control de son être. La première chose que l’on su était qu’il s’était enfermer, à clef, dans la pièce où le souper romantique avait eu lieu et qu’il s’était armé d’un pistolet contenant qu’une seule balle. Le reste n’est que des mots en l’air.

Plusieurs moi passèrent, près d’un an même, et dieux seul sait ce qui s’y ai passé. Dans cette pièce, il n’y avait pas qu’une arme près d’Heiden. Il y avait aussi son précieux livre qu’il relu au moins cinq ou six fois, toujours aussi intrigué qu’à la toute première lecture. Des rumeurs circulaient, racontant des expériences vécues par les jeunes venant déposer des repas à sa porte. Certaines racontaient que ces jeunes avaient entendu des vois à l’intérieur, mais pourtant personne n’y a jamais mit le pied depuis le début du séjour d’Heiden. Certains disaient qu’il devait simplement prier à ce moment. D’autres, ayant plus d’imagination, pensaient et croyaient fortement qu’il était fou et se parlait à lui-même ou à un être invisible. Un de ces anciens élève avait sorti l’hypothèse qu’Heiden souffrait de schizophrénie, alors que d’autres racontaient qu’il était atteint de trouble de double personnalité. Un autre professeur, ayant peu fréquenté Heiden, fit remarquer aux autres qu’il semblait prendre des médications. Peut-être n’en avait-il plus et ces évènements empiraient son état. Qu’importe la raison, ou les sources de ces rumeurs, le fait est qu’Heiden n’était pas complètement sain d’esprit et qu’il fallait le soigner.

Depuis un certain temps maintenant, on remarqua que les plats, les repas, semblaient s’accumuler devant le local. Les vois n’était plus, tout semblait silencieux et d’étranges odeurs firent place. De nouvelles rumeurs naissaient. Suivants leur logique, les plus courageux, n’ayant pas le cœur sensible, entrèrent dans la pièce et le découvrit sur le sol, blâme comme un drap et froid. Ils crurent à un décès, puis l’un d’entre eux vérifia son pou qui, heureusement, était présent mais faible et lent. Ils l’amenèrent dans le local d’infirmerie, qui depuis l’accident, avait été aménagé en salle d’urgence style hôpital. Ils s’occupèrent de lui durant un mois ou deux. Heiden, qui avait faillit mourir, repris des couleurs et recommença à manger correctement. Selon certaines personnes, son état, lorsqu’ils sont allés le chercher dans sa pièce, avait été causé par sa conscience qui lui disait de se laisser mourir. Le fait est qu’il était conscient de ce 'suicide' à retardement.

Après sa sorti de l’hôpital, un congé de laboratoire et d’expérience sur les kuros lui à été accordé sous prétexte qu’il semblait être dépressif et qu’il avait besoin de temps pour lui-même, pour ce retrouver. N’ayant pas de vrais psychologues ou de médicaments antidépresseurs, ils ne pouvaient savoir combien de temps ce retrait pouvait durer. Sachant maintenant qu’il prenait des pilules, ils se doutaient qu’il aurait besoin de plus de temps pour remonter la pente et d’attention amical de la par des autres. Hors de question de le laisser seul trop longtemps et causé une rechute. Évidement, ils se doutaient tous que la tâche ne serais pas si simple puisqu’ Heiden laisse difficilement les autres l’approcher. Katsuo était bel et bien le seul qui pouvait aller le voir avec facilité sans se faire envoyer promener.

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PART 3

Mi-année 2027. Près d’un an s’est écoulé depuis son isolement et son hospitalisation. Il lui fallu cinq ou six mois avant de demander de revenir dans l’équipe scientifique. Même s’il se disait apte à rétablir un cours normal à sa vie tout en travaillant, les autres, ses collègues, pouvaient bien voir qu’il n’allait pas du tout mieux. Ses idées sombres avaient disparu, mais sa motivation, elle, n’était pas très présente. Pour ne pas le contrarier, ils le laissèrent travailler sachant bien qu’il était encore malade psychologiquement. S’inquiétant pour lui, on lui donna de simples tâches au début, mais il en faisait toujours plus. Ils évitèrent les conflits le plus possible sachant qu’il était fragile moralement. Malgré certain malentendu, tout était bien, tout se déroulait comme il le fallait et tout semblait parfait. Puis un jour, il arriva ce qu’il devait arriver.

Après une journée remplie d’expérimentations de toutes sortes, un conflit éclata entre l’un des membres de l’équipe et Heiden. Le motif? Il n’y en avait pas vraiment. Il s’était mit à l’engeuler simplement pour un petit quelque chose puis l’homme essaya de le calmer et de comprendre d’où venait cette agitation. Le ton s’élevait et devenait de plus en plus violent et menaçant à chaque tentative de la par de son collègue. N’ayant aucune chance de le ramener à la raison, il abandonna après quelques minutes et quitta les lieux, maintenant désert. Ce n’était pas la première fois qu’ils avaient ce genre de conflits, mais avec cette violence, oui. Il l’avait menacé de mort. Après son départ, il renversa les tables et leurs contenus sur le sol, brisant des éprouvettes et des béchers de toutes sortes, vide ou plein, puis quitta la pièce à son tour et retourna à sa chambre, à l’autre campus.

Le jour suivant, on cria scandale dans l’établissement. Non pas pour le local vandalisé et le matériels détruit, mais pour bien pire. On criait au meurtre. Quelqu’un fut assassiné la nuit précédente. Seulement assassiné? Non. Cette personne, retrouvé en morceau dans sa chambre, fut battu, poignarder, décapité. Son cœur fut arracher et semble avoir été lancé contre le miroir. Ses bras et ses jambes arrachés. Doigts et orteils découpés et éparpillés sur le sol. Du sang? Partout sur les murs, le lit, les bureaux et les tables. Sur le sol également et sur le plafond! Les coupables? Sans hésitation, un autre cas de kuro ayant infiltré le bâtiment. La vérité? Pas tout à fait. C’est bel et bien un monstre qui avait causé la perte de cet homme, mais un monstre à apparence humaine. Qui pourrait se douter que le meurtrier était parmi eux? Se cachaient-ils les yeux? La peur les aveugleraient-ils?

Ce qui est certain, dans cette affreuse situation, c’est le sentiment de culpabilité qui hantait Heiden. Le sang sur ses mains qu’il n’arrivait pas à laver. Celui sur ses vêtements qui les avait tachés. Il ne pouvait imaginer qu’il était capable de ce genre de choses. Il ne pouvait pas croire qu’il l’avait tué. Il avait mit fin a la vie de son collègue. Tous connaît les détails du crime, mais lui seul sait un certain détail. Non seulement il l’avait mit en pièces, mais il avait commis un viol…

Encore frustré du conflit, retournant à sa chambre, des envies de meurtres s’emparèrent de lui et instinctivement il entra dans la chambre de cet homme. Possédé de sentiments négatif, n’étant pas lui-même, il l’attaqua et le viola, malgré son agitation. Personne ne se doutais de cette scène puisqu’Heiden lui avait mit quelque chose dans la bouche et lui avait attaché les mains. Après le viol, se fut bien sûr la mise en morceau.

Ces images hantent maintenant Heiden depuis six ou sept mois. La pente fut dure à remonter, surtout qu’il ne se confia à personne durant tout ce temps, mais il va mieux. Il apprit à contrôler ses émotions de rages pour éviter un autre drame, mais restait toujours aussi froid avec les autres. Il se disait certainement que le meilleur moyen d’éviter les conflits était de rester loin des personnes l’entourant avec qui un malentendu pouvait prendre forme facilement. Son quotidien ressemble enfin, à nouveau, à celui de l’époque 'avant-quarantaine'. Ce qui est une bonne chose. Autant pour lui que pour les autres. Seul petite différence : ces périodes où il s’isole à la bibliothèque pour lire, ou juste pour réfléchir. Il lui arrive aussi de piqué un somme, lorsqu’il a mal dormi, réveillé par des cauchemars. Coté travail, tout va bien, même si depuis un certain temps Heiden ne donne plus son opinion et semble absent. Il obéit aux ordres, sans se demander pourquoi il fait tel ou tel chose. Mais lorsqu’on oublie ce genre de détail, c’est toujours le bon vieux Heiden qui reprend peu à peu sa place dans le clan diriger par son seul ami, Katsuo Keijiro.

Voila! La vraie histoire d’Heiden Yamamoto du clan Kuroko!

FIN